Il y a plus de 2 ans déjà, HIJP a envoyé une lettre de recommandation aux cantons et à leurs autorités de poursuite pénale pour introduire la vidéoconférence. Après une phase de calme, les choses commencent à bouger. D’une part, parce que le marché des fournisseurs a évolué: deux prestataires ne proposent plus de telles prestations ou seulement contre de lourds investissements et un nouveau prestataire a pu faire sa place sur le marché avec des prestations standard existantes. D'autre part, les responsables des ministères publics, des autorités d’exécution des peines et mesures ou des tribunaux dans plusieurs cantons ont lancé leur propre projet ou ont procédé à des acquisitions modestes. Des succès probants ont parfois pu être obtenus en peu de temps et les résultats attendus du rapport de base de 2016 ont été confirmés. La volonté du domaine spécialisé d’utiliser la vidéoconférence comme un des outils à sa disposition et de l’intégrer dans la pratique quotidienne reste déterminante. Au sein de HIJP, nous accompagnons et épaulons les cantons et envisageons aussi de tenir à jour une liste de contacts.